Discussion:
[HS] Barbouillage intelligent...
(trop ancien pour répondre)
Benoît L.
2024-05-31 12:59:23 UTC
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Avec enthousiasme, le 31 mai 2024 à 01:45, Stephane Legras-Decussy
on peut tout oublier...
l'objectif -50% de carbone pour *peut être* stabiliser le réchauffement,
- interdire la consommation de viande sur Terre.
Pour le peuple, pas pour l’élite
- interdire toutes les voitures
Revenir aux bœufs, chevaux… qui termine leur vie dans la marmite :

Un km à pied ça use, ça use, un km à pied ça use les souliers.
Deux kms à pied ça use, ça use, deux kms à pied ça use les souliers.
Trois kms à pied ça use, ça use, trois kms à pied…

Les sandales sont faites avec la peau des bêtes qui ne peuvent plus
tracter, les lacets avec leur crinière, les os permettent de faire du
savon, les vessies des ballons…
- interdire tous les avions
Les quoi ? Des gens qui volent ? Depuis un bail on a laissé tomber les
dieux, et les gamins qu’ont des ailes. On n’interdit pas puisque ça
n’existe pas. On a bien les grosses boules en tissu avec du feu
en-dessous. Leur principal défaut est que si on sait d’où on part, on
arrive rarement là où c’était prévu.
- interdire tous les navires.
Ça va pas ? Le vent ne cause pas de réchauffement puisqu’il rafraîchit
plus souvent qu’il ne réchauffe. Et puis, en plus du vent, on a des
employés qui coûtent pas chers.


Suivi idoine svp.
--
Bien des personnes aiment à dire qu'elles ont une prédilection pour
des choses «profondes», or, je me demande si ces personnes ne
commettent pas des erreurs en prenant pour «profondes» des choses
qui sont creuses. -+- Sacha Guitry dans « Un trou est un trou »
Paul Aubrin
2024-05-31 13:29:40 UTC
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- interdire toutes les voitures
Non. On ne revient pas aux bœufs non plus. L'objectif des écolâtres
ressemble plus aux chasseurs-cueilleurs (ceux qui devaient déménager
tous les six mois après avoir épuisé les ressources de leur environnement).

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Ceux-là avaient tué une quantité énorme d'oiseaux de toutes les
couleurs. Les poissons de la rivière séchaient sur des claies au soleil.
Les femmes avec leurs nourrissons dans les bras rappaient et lavaient
les racines de manioc (il faut les laver et les essorer trois jours
d'affilée pour en retirer le poison).

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